À la Boiselle, après les explosions des mines des 18, 19, 21 et 23 mars, la 10° Compagnie a, à chaque fois, réussi à occuper les entonnoirs, à les organiser et à s'y maintenir malgré les bombes et le violent feu de l'ennemi, sans pertes importantes, grâce à la soudaineté de son attaque, à l'énergie prudente de ses officiers, et au bel entrain de ses hommes.
Dans la nuit du 20 mars, a repoussé deux attaques en infligeant aux allemands des pertes sensibles.