La Bâtie-Neuve porte:
d'azur à un château donjonné d'un clocheton d'or girouetté de gueules
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Bâtie-Neuve
La faïencerie de la Bâtie
Une faïencerie exista à La Bâtie-Neuve entre le 13 juin 1752 et le 18 novembre 1795, jour qui vit extinction des feux et fermeture des fours. En 1784, à la demande de Caze de la Bôve, intendant du Dauphiné, Pierre-Joseph-Marie Delafont, subdélégué de Gap, écrivait que l'argile présentait des défauts rendant les faiences cassantes.
Ces argiles furent exploitées par une briquerie gapençaise jusqu'en 1975.
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
De sanguinaires pirates venant du sud souhaitaient piller les habitants de Sakhaline. Trois guerriers nivkhes courageux, ayant demandé protection des esprits marins qui ne répondirent. Devant ce silence, ils se levèrent, sautèrent à la mer et coulèrent le bateau pirate.
Celui-ci coulé, ils restèrent sur place, se pétrifiant pour continuer à protéger cette partie de l'île.
Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !
Il est certains qui ont le don de voir les intersignes du blé - Sinadoù an Ed en breton; ces présages annonçant la mort d'un proche. Certains objets favorisent ces visions.
Si vous avez un épi à sept têtes et des prédispositions, vous distinguerez les intersignes mieux que tous les autres.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par La Bâtie-Neuve ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de La Bâtie-Neuve, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant La Bâtie-Neuve.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Écrasé sous un rocher
La Bâtie-Neuve, 14 décembre - À La Batie-Neuve, Hautes-Alpes, un cultivateur, M. Adrien Durand, âgé de 67 ans, a été mortellement blessé par un bloc de rocher qu'il venait ce faire sauter à l'aide d'une cartouche de dynamite.
LE PETIT JOURNAL - 15 décembre 1942
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Nouer les aiguillettes...
Par le passé, il y a bien longtemps, certains sorciers étaient accusés de nouer les aiguillettes ; cela amenant directement au bûcher. Dénouer les aiguillettes, réclame volonté, fermeté et ortie.
Pour ce faire, vous devrez attacher les deux époux nus face l'un à l'autre et les fouetter avec de l'ortie fraîche. Ce traitement rafraîchissant ravive les sens et stimule les énergies des deux époux qui devront alors la dépenser en jouant à la bête à deux dos comme le disait si bien Rabelais.
Bien sûr, renouvelez le traitement si besoin est !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de La Bâtie-Neuve ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À La Bâtie-Neuve ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Blaise de Sébaste, Martyr arménien
Le 3 février 316, Blaise est décapité au bord d'un étang sur ordre du gouverneur de Cappadoce. Médecin soignant bêtes et hommes, il est évêque de Sébaste. Arrêté, Blaise devait être noyé dans un vaste et profond étang de la ville. Blaise, lourdement lesté, ne coulant pas et marchant sur les eaux, se retournant sur la berge à la tête coupée par ses bourreaux.
⤇ Mal aux cheveux - Année 1896
Taupin, sortant d’une baraque d’acrobates de la fête du village, demande au patron du spectacle:
- Pourquoi votre homme-serpent n’a-t-il pas travaillé ce soir, cher Monsieur ?
- Il a fait la noce hier soir et est indisposé ce jour...
- Compris... Compris... Il avait la gueule de boa !
Nous remercions les différents contributeurs de La Bâtie-Neuve.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !