Boz est une commune de 516 habitants en département de Ain qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Boz est attesté entre 997-1031 dans cette phrase latine tirée d'une charte de l'abbaye de Cluny: Pratum unum, qui est in Luduneuse, ubi a Bosco vocatur.
Nous retrouvons Boz en 1031 et 1061 avec un Villa Bo ; puis un Bosc en 1533. 1734, dans une description de la Bourgogne, verra un Bouz et Boz coexister.
Boz porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Boz
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Chez les Bouriates, comme chez les Mongols, le feu est sacré et doit être respecté et, vu les froids hivernaux, on comprend pourquoi.
Sahyaadaï Noyon, Seigneur du Feu, est frère de Tengeri, suprême divinité.
Par respect pour le Feu, vous ne le toucherez pas avec des objets pointus, n'y jetez pas de déchets, et ne placez vos pieds vers la flamme.
Ces règles évitent simplement de fragiliser le feu et peut vous éviter brûlures malheureuses...
Si, joyeux sur la route de vacances ou en balade automobile, vous remarquez deux fétus de paille ou deux brindilles de bois posées en croix, vous devez immédiatement rebrousser chemin et retourner d'où vous venez ou il vous en cuira. C'est du moins ce qui était fortement conseillé à tout voyageur, charretier ou autre marcheur en cette belle région d'Anjou.
Ayez donc l'œil et regardez bien la route !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Boz ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Boz, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Tribune publique
Nous recevons la lettre suivante :
Monsieur le directeur de la Griffe :
Monsieur,
Votre campagne sur les T. A. passionne un grand nombre de voyageurs.
Il y a beaucoup à dire sur cette compagnie qui prend sa clientèle pour de véritables poires.
Laissez-moi vous signaler le cas de la perception.
Beaucoup de voyageurs sont forcés de donner pour payer le prix de leur place, des billets de la Chambre de Commerce, à défaut de numéraire. Ce dernier étant introuvable la plupart du temps.
Or, les receveurs, se basant sur un arrêté préfectoral, vous obligent à faire l'appoint sans se soucier de la situation monétaire du moment. Il suffirait que l'administration des T. A. leur fasse entendre que d'après la coutume, c'est celui qui reçoit le plus qui doit faire l'appoint.
Si je donne dix sous pour une place de six, c'est donc le receveur qui est tenu sans observation, à me rendre la différence.
Veuillez agréer, etc.
UN MÉCONTENT
LA GRIFFE - 15 décembre 1920
T.A. = Tramways de l'Ain
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ L'Évêque et le Seigneur
Nos aïeux se disputaient aussi comme des chiffonniers pour quelques arpents, quelques chiffons ou quelques revenus.
Jacques Gelu, doux Évêque de Gap, et Isnard de Beaufort, bon seigneur de Bréziers, communes des Hautes-Alpes, se disputaient dîmes et bénéfices de la paroisse. Leurs gens en venaient aux mains et partageaient plaies, horions et bosses. Le tribunal de Dignes trancha, l'Évêque gagna et Isnard créa san doute une nouvelle taxe !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Boz ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Boz ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Notre Dame de Lourdes, Lieu saint
Aujourd'hui, vous aurez pensée pour Notre Dame de Lourdes. En ce lieu, la Vierge Marie apparut 18 fois à Bernadette Soubirousentre le 11 février et le 16 juillet 1858, dans une grotte lourdaise, la grotte Massabielle. La Vierge lui demanda de travailler à la conversion des pêcheurs et créer un lieu de pèlerinage à Lourdes. Plusieurs millions de pèlerins, malades, visiteurs du monde viennent prier et se recueillir à Lourdes tous les ans.
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ Les ouvreuses - Année 1896
Deux ouvreuses travaillent à placer les spectateurs bien que la chaleur soit suffocante. L'une dit à l'autre:
- Quelle chaleur dans ce théâtre ! J’en suis phoque.
- Vous voulez dire : j’en suffoque ?
- Pardon, pardon, Madame Camus, je connais ma langue ! C’est-y-vrai qu’on dit: Souffler comme un phoque ? Ben, alors, puisque la chaleur me fait souffler, c'est donc approprié !
Nous remercions les différents contributeurs de Boz.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !