Séglien est une agréable commune bretonne du Morbihan. Ses calmes paysages en pays de Pontivy recèlent bien des monuments chargés d'histoire. Vous les découvrirez tout au long des multiples randonnées pédestres ou autres balisées sur la commune. Séglien voit plusieurs chapelles, moulin, fontaines et autre petit patrimoine qui ne demandent qu'à se dévoiler à vous.
Merci à wikipédia et autres d'arrêter de plagier nos textes et travauxDécouvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
En breton, on dit Seglian, l'administration française en a fait Séglien et ce toponyme est attesté dans les parchemins du chapître de Vannes en 1387 dans une forme identique à la forme bretonne contemporaine.
Le sens de ce toponyme est inconnu et certains auteurs en font un toponyme antérieur à l'arrivée des bretons en Armorique. Il serait peut-être profitable de rapprocher ce toponyme des Sig, Seg, Sed que l'on retrouve notamment dans certaines régions du Sud-Est.
Séglien porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Séglien
Métiers du XVIII°
Notre société du XVIII° siècle était profondément rurale et seigneuriale. Une bonne partie des terres de Séglien dépendait de la Seigneurie de <>Koad ar Faoù - Coat-an-Faou>. Voici un cours descriptif des conditions de vie des gens de métier vivant à Séglien au XVIII° siècle.
Par gens de métier, nous parlons des professionnels qui, sans posséder ou travailler la terre, en vivaient par les services rétribués qu'ils fournissaient aux autres habitants de la paroisse.
Une brave femme des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs: ils ne chantaient plus au lever du soleil. Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueilli au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour !
Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Séglien ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Séglien, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Séglien ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Séglien ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☼ Sidoine de Jumièges, Saint - VI° siècle
Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.
Ar miz Meurzh gant he vorzolioù
A zeu da skeiñ war hon noriou.
Mars avec ses marteaux
Vient frapper à nos portes.
⤇ Première entrevue - Année 1895
Un jeune homme, en recherche de mariage, a obtenu une première rencontre avec une jeune femme pour parler de fiancailles ; bien sûr en présence des parents comme il se doit. Le jeune homme parle alors:
- Comment vous remercier, Mademoiselle, de m’avoir accepté...
- Mais, Monsieur...
- C’est que j’avais déjà été refusé par plus de vingt jeunes filles...
Tête de la fiancée !
Nous remercions les différents contributeurs de Séglien.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !