Saint-pierre-de-bœuf est une commune de 1.600 habitants en département de Loire qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Saint-pierre-de-bœuf porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-pierre-de-bœuf
Sur les côtes bretonnes, à mi-marée et lorsque la mer est calme, si vous savez regarder en oubliant votre modernité vous pourrez parfois remarquer des ganses et des rubans sinueux un peu plus clairs que les eaux environnantes, rappelant une voie lactée marine.
C'est une route sacrée tracée par des hommes et femmes de grandes saintetés, ou par des divinités ayant eu le priviliège de marcher sur les eaux.
Regardez-les et vous les verrez...
Chez les Bouriates, comme chez les Mongols, le feu est sacré et doit être respecté et, vu les froids hivernaux, on comprend pourquoi.
Sahyaadaï Noyon, Seigneur du Feu, est frère de Tengeri, suprême divinité.
Par respect pour le Feu, vous ne le toucherez pas avec des objets pointus, n'y jetez pas de déchets, et ne placez vos pieds vers la flamme.
Ces règles évitent simplement de fragiliser le feu et peut vous éviter brûlures malheureuses...
Il est affirmé qu'autrefois, à Ville-sur-Cousances, seul l'usage de lait trait d'une vache noire éteignait un feu de foudre.
Ainsi en 1840, un incendie provoqué par le feu divin, les habitants refusèrent de porter les seaux, affirmant que seul ce lait de vache noire éteindrait cet feu ; trois maisons plus tard, ils sortirent les seaux.
Ils font maintenant le 18 !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-pierre-de-bœuf ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-pierre-de-bœuf, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Terrible accident
Saint-Pierre-de-Bœuf, 18 mai - Un épouvantable accident est arrivé dans la carrière de pierres de MM. Bourgeois et Cie, au lieu dit la Rochette près de Saint-Pierre-de-Boeuf, canton de Pélussin (Loire).
MM. Bourgeois et Cie, qui se sont chargés des travaux d'endiguement du Rhône, occupaient vingt-cinq ouvriers dans la carrière qu'ils exploitent.
A une heure, les ouvriers venant de déjeuner, se mirent au travail.
Préalablement toutes les mesures de précaution et de sûreté pour les ouvriers avaient été prises, et rien ne faisait présager la terrible catastrophe qui, quelques minutes après, faisait de nombreuses victimes.
Plusieurs ouvriers travaillaient au pied des rochers, pendant que les autres chargeaient les pierres.
Tout à coup un craquement formidable se fit entendre, la cime du rocher croulait ; les ouvriers épouvantés reculent mais deux sont pris sous les blocs. Les camarades de ces deux infortunés, oubliant le danger, s'élancent à leur secours ; une minute s'est à peine écoulée, qu'un second éboulement se produit, faisant quatre nouvelles victimes.
Six ouvriers étaient ensevelis sous l'avalanche de pierres !
La nouvelle de cette catastrophe épouvantable se répandit bien vite dans le pays, et de tous côtés les habitants accoururent.
Les travaux de secours furent aussitôt organisés par M. Méraud, conducteur des ponts et chaussées. Toutes les personnes présentes mirent un grand dévoilement et beaucoup d'empressement à déblayer la carrière. On espérait trouver les malheureux ensevelis vivants : mais hélas, à 9 heures du soir, on retirait six cadavres.
Voici les noms des malheureuses victimes, la plupart sont mariés et pères de famille :
Claude Brustel, âgé de 52 ans, marié et père de deux enfants.
- Auguste Flacher, âgé de 28 ans marié et père de deux enfants.
François Flacher, père du précédent, âgé de 50 ans, marié et père de 3 enfants.
Arohangelo Dezorgo, célibataire, âgé de 34 ans.
Joseph Cartellier, âgé de 28 ans, marié, père d'un enfant.
Adrien Gamet, âgé de 18 ans.
Le médecin, de Pélussin, que l'on était allé chercher, croyant que son concours pouvait être de quelque utilité, n'a pu que constater les décès. Ils étaient entièrement méconnaissables, mutilés et écrasés à ce point que plusieurs étaient réduits en une bouillie sanglante. On n'a pas voulu les laisser voir aux femmes et aux enfants des malheureuses victimes dont il faut renoncer à décrire le désespoir.
Les funérailles des six victimes de cette catastrophe ont eu lieu le 15 à dix heures du matin. Une foule qu'on peut évaluer à plus de deux mille personnes formait le cortège que précédaient trois tambours voilés de crêpe, et la Fanfare qui jouait des airs funèbres.
Ces six cercueils ont été sortis tous ensemble de la maisonnette de la carrière, les autorités départementales et locales étaient représentées dans le cortège. Au cimetière, les fosses avaient été numérotées pour que chaque famille les reconnût bien. La foule était profondément impressionnée.
Une grande quantité de curieux sont allés visiter la carrière, théâtre de ce terrible accident.
LES DRAMES ILLUSTRÉS - 22 mai 1880
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Citation à la 22° Légion
Nos gendarmes et policiers sont toujours déclarés coupables et trahis par certains politiques ou juges à ne pas qualifier. Par lâcheté politique et judiciaire, ils sont bien souvent livrés à la vindicte sans autre forme de procès. Cette anecdote nous rappelle qu'ils sont aussi d'un grand dévouement et civisme.
Le 23 avril 1873, les gendarmes Mauberret, Davis, Cavaz et Moine, gendarmes de Veynes furent mis à l'ordre de la Légion pour l'énergie, la modération et le tact dont ils ont fait preuve dans la soirée du 13 avril en maintenant l'arrestation de deux perturbateurs qui venaient d'être enfermés dans la chambre de sûreté de la caserne et dont la foule réclamait avec menaces la mise en liberté.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-pierre-de-bœuf ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-pierre-de-bœuf ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Fille de Roi - X° siècle
Née vers l'an 961-964, Édith et princesse et fille du Roi des Angles, Edgar.
Elle entre très jeune au monastère de Wilton avec Wilfride, sa mère qui en est abbesse. Elle y décède un 16 septembre, aynt juste 23 ans. Elle est rapidement sanctifiée dans la région bien que nous ne connaissions pas ses saintes actions ; sans doute comme princesse des Angles
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ La veuve - Année 1889
Une femme encore jeune vient de perdre son mari, et l’on essaie de la consoler.
- Ah si seulement j’étais jolie. s’écrie-t-elle après avoir versé d’abondantes larmes.
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-pierre-de-bœuf.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !