Saint-pierre-de-bœuf est une commune de 1.600 habitants en département de Loire qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Saint-pierre-de-bœuf porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-pierre-de-bœuf
Une tradition locale laisse entendre que le village de Neffes, village des Hautes-Alpes, en sud Dauphiné et France, possédait trois portes.
L'une de ces portes, la plus grandiose, prestigieuse, sans pareille au monde, s'appelait Albine.
Ces trois portes ont disparu sans laisser de traces...
Longtemps, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime en 1789, les coutumes locales régentaient la vie des communautés villageoises ou urbaines. Elles étaient souvent fruit de chartes signées avec un seigneur d'autrefois, ou résultats des us passés qui étaient devenus lois communes.
Les droits de passages étaient fortement réglementés, et bien sûr taxés dans la foulée ; cela était le cas de Barrême, petite commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-pierre-de-bœuf ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-pierre-de-bœuf, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
⤇ Terrible accident
Saint-Pierre-de-Bœuf, 18 mai - Un épouvantable accident est arrivé dans la carrière de pierres de MM. Bourgeois et Cie, au lieu dit la Rochette près de Saint-Pierre-de-Boeuf, canton de Pélussin (Loire).
MM. Bourgeois et Cie, qui se sont chargés des travaux d'endiguement du Rhône, occupaient vingt-cinq ouvriers dans la carrière qu'ils exploitent.
A une heure, les ouvriers venant de déjeuner, se mirent au travail.
Préalablement toutes les mesures de précaution et de sûreté pour les ouvriers avaient été prises, et rien ne faisait présager la terrible catastrophe qui, quelques minutes après, faisait de nombreuses victimes.
Plusieurs ouvriers travaillaient au pied des rochers, pendant que les autres chargeaient les pierres.
Tout à coup un craquement formidable se fit entendre, la cime du rocher croulait ; les ouvriers épouvantés reculent mais deux sont pris sous les blocs. Les camarades de ces deux infortunés, oubliant le danger, s'élancent à leur secours ; une minute s'est à peine écoulée, qu'un second éboulement se produit, faisant quatre nouvelles victimes.
Six ouvriers étaient ensevelis sous l'avalanche de pierres !
La nouvelle de cette catastrophe épouvantable se répandit bien vite dans le pays, et de tous côtés les habitants accoururent.
Les travaux de secours furent aussitôt organisés par M. Méraud, conducteur des ponts et chaussées. Toutes les personnes présentes mirent un grand dévoilement et beaucoup d'empressement à déblayer la carrière. On espérait trouver les malheureux ensevelis vivants : mais hélas, à 9 heures du soir, on retirait six cadavres.
Voici les noms des malheureuses victimes, la plupart sont mariés et pères de famille :
Claude Brustel, âgé de 52 ans, marié et père de deux enfants.
- Auguste Flacher, âgé de 28 ans marié et père de deux enfants.
François Flacher, père du précédent, âgé de 50 ans, marié et père de 3 enfants.
Arohangelo Dezorgo, célibataire, âgé de 34 ans.
Joseph Cartellier, âgé de 28 ans, marié, père d'un enfant.
Adrien Gamet, âgé de 18 ans.
Le médecin, de Pélussin, que l'on était allé chercher, croyant que son concours pouvait être de quelque utilité, n'a pu que constater les décès. Ils étaient entièrement méconnaissables, mutilés et écrasés à ce point que plusieurs étaient réduits en une bouillie sanglante. On n'a pas voulu les laisser voir aux femmes et aux enfants des malheureuses victimes dont il faut renoncer à décrire le désespoir.
Les funérailles des six victimes de cette catastrophe ont eu lieu le 15 à dix heures du matin. Une foule qu'on peut évaluer à plus de deux mille personnes formait le cortège que précédaient trois tambours voilés de crêpe, et la Fanfare qui jouait des airs funèbres.
Ces six cercueils ont été sortis tous ensemble de la maisonnette de la carrière, les autorités départementales et locales étaient représentées dans le cortège. Au cimetière, les fosses avaient été numérotées pour que chaque famille les reconnût bien. La foule était profondément impressionnée.
Une grande quantité de curieux sont allés visiter la carrière, théâtre de ce terrible accident.
LES DRAMES ILLUSTRÉS - 22 mai 1880
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-pierre-de-bœuf ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-pierre-de-bœuf ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☼ Sidoine de Jumièges, Saint - VI° siècle
Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ Le flemmard - Année 1905
Deux amis se rencontrent dans la rue.
- Tu sais que Machin, celui qui était si flemmard, vient de mourir ?
- Ah bon ? Qu'est-ce qu'il a trainé pour le faire.
- Oui, sans doute la flemme de se faire enterrer !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-pierre-de-bœuf.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !