Peu avant de vous engager dans le Valgaudemard, vous pourrez faire une pause dans le village de Saint-Firmin. L'adret, particulièrement bien exposé et la position de la commune, sur la rive droite de la Séveraisse, procure un agréable cadre où séjourner. Ici, vous êtes aux portes du Valgaudemard, tous proches du lac du Sautet et à peu de kilomètres du Champsaur.
Merci à wikipédia et autres d'arrêter de plagier nos textes et travauxDécouvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Saint-Firmin, en vivaro-alpin Sant Firmin, est cité en 1178 dans une bulle d'Alexandre III° ; il apparaît sous la forme latine Sanctus Firminus et reste d'une grande stabilité dans le temps.
Pendant quelques années, lors de la Révolution de 1789, la commune sera appelée Firmin Fort puis retrouvera son toponyme les passions révolutionnaires apaisées.
Saint-Firmin porte:
d'azur au lion d'or, armé et lampassé de gueules, à une bande d'argent chargée de trois roses de gueules brochant sur le tout
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-Firmin
Sur les côtes de Saint-Malo, en Bretagne et après un coup de gros temps, vous pourrez apercevoir des tâches sur la mer; ces marques sont les Sentes de la Vierge.
Lorsque les éléments sont déchaînés, la Mère de Jésus descend sur les flots furieux et les calme grâce à son Amour de tout et de tous.
Remerciez-la et ayez une pensée pour elle qui a travaillé à vous apporter le beau temps que vous voyez en lisant ces lignes...
Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-Firmin ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-Firmin, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
⤇ Accident de motocyclette
Saint-Firmin, 29 juillet - Passant en motocyclette à Saint-Firmin, MM. Virgile Dévoluy, 30 ans, menuisier, et Auguste Reynaud, 50 ans, cultivateur à Chauffayer, par suite d'un dérapage, ont été projetés dans un ravin. M. Dévoluy, père de trois enfants, a été tué sur le coup ; M. Reynaud, blessé grièvement, a été transporté à l'hôpital de Gap.
L'ACTION FRANÇAISE - 1° juillet 1930
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Firmin ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Firmin ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☼ Sidoine de Jumièges, Saint - VI° siècle
Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.
⤇ L'échafaud - Année 1895
Un romancier assistait, il y a quelques temps, à une exécution capitale. Le condamné opposait la plus vive résistance aux aides du bourreau et se faisait littéralement traîner jusqu’au lieu du supplice. Alors, notre écrivain inscrivit sur son carnet cette réflexion, qui éclaire d’un jour tout nouveau une question jusqu’ici tant controversée:
- La peine de mort n’a pas d’adversaires plus résolus que ceux qui vont monter à l’échafaud...
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Firmin.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !