Buléon porte:
de gueules à l'épée versée d'argent, à une bordure d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Buléon
Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.
Chez les Bouriates, comme chez les Mongols, le feu est sacré et doit être respecté et, vu les froids hivernaux, on comprend pourquoi.
Sahyaadaï Noyon, Seigneur du Feu, est frère de Tengeri, suprême divinité.
Par respect pour le Feu, vous ne le toucherez pas avec des objets pointus, n'y jetez pas de déchets, et ne placez vos pieds vers la flamme.
Ces règles évitent simplement de fragiliser le feu et peut vous éviter brûlures malheureuses...
Autrefois, quand l'enfer était réalité pour les esprits, le Démon, Roi des Enfers, avait cour et palais, ducs, marquis, autres comtes et armées organisées à sa disposition. Tous ces personnages avaient nom et apparence, description et habillement. Voici un de ces démons du Royaume des Enfers.
Comme les démons sont partout et se déplacent librement, ils peuvent être à Buléon ou ailleurs...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Buléon ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Buléon, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Médailles de la famille
Buléon, 17 mars - La médaille d'argent de la Famille Française a été remise le 13 mars à Mme Le Breton Louis, née Bellec Léonie-Marguerite, et Mme Le Clair François-Mathurin, née Guillouzic Marie-Josèphe.
L'OUEST RÉPUBLICAIN - 19 mars 1922
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Meuniers fripons
Les meuniers ont toujours trainé une réputation de fripons. Au Moyen-Âge, formant le peloton de tête blasonné des professions malhonnêtes avec les boulangers, les tailleurs d'habits et les juges, ils voyaient moult mauvaises histoires et dictons à leur sujet, dont celles de fraudes aux farines.
Il est rapporté qu'en Massif Central mais aussi ailleurs, certains meuniers faisaient des ais de diamètres bien supérieurs à celui de la meule de la meule ; cela leur permettant de grapiller les farines accumulée sur cet espace. La farine s'y accumulant, larron la récupérait aux dépends de son client...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Buléon ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Buléon ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Arnaud de Lemona, Abbé - XIII° siècle
Né en 1185 dans une famille noble, en paroisse de Limena, région de Padoue, Arnaud Cattaneo entre très jeune au monastère Ste Justine de Padoue. Il s'y fait rapidement remarquer pour sa piété, sa gravité et l'exemplarité de sa vie. Il est élu abbé du monastère à 24 ans. Abbé dynamique, défendant les droits du monastère bec et ongle, il l'agrandit de nouveaux bâtiments. Lorsque Ezzelino III, condottiere surnommé Le féroce, prend le pouvoir à Padoue en 1237. Après avoir fait arrêter le prieur du monastère de St Benoît de Padoue, Ezzelino III envoie en 1246 Arnaud en la forteresse d'Assolo, croupir au pain sec et à l'eau. Après huit ans et trois mois de ce traitement, Arnaud décède. Nous étions le 10 février 1255.
Ebrel garv,
Pemoc'h marv.
Avril rude
Cochon mort.
⤇ Mademoiselle Lili - Année 1896
Mademoiselle Lili, 5 ans, qui est particulièrement gourmande et goûte à tout, vient de manger un gâteau à la crème. Un peu de crème reste encore sur ses doigts. Survient Minouche, la chatte de la maison, qui s’empresse de lécher les menottes de sa petite maîtresse.
- Oh ! Maman, crie Lili toute joyeuse, regarde donc Minouche qui me goûte !
Nous remercions les différents contributeurs de Buléon.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !