Ici, nous sommes à Arbigny, commune dans le département de l'Ain voyant une population de 460 habitants. Ici, nous sommes en Bresse et la Saône coule proche ; rythmant autrefois la vie de ses communes limitrophes.
Explorant Arbigny, vous découvrirez, après être passé par l'Église et le village, les campagnes environnantes en suivant pistes et chemins.
Pourquoi pas une balade les longs de Saône ?
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Arbigny est attesté la première fois connue en 969 et se trouve dans un recueil de chartes de l'abbaye de Cluny sous la forme latine Villa Albignacus. Ce toponyme dérive de l'anthroponyme latin Albinius.
Arbigny porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Arbigny
Une tradition locale laisse entendre que le village de Neffes, village des Hautes-Alpes, en sud Dauphiné et France, possédait trois portes.
L'une de ces portes, la plus grandiose, prestigieuse, sans pareille au monde, s'appelait Albine.
Ces trois portes ont disparu sans laisser de traces...
Les vendanges terminées, il était us chez les habitants d'Aluze, département français de Saône-et-Loire, d'offrir une grappe de raisin à tout pauvre le demandant.
Cet usage était naturel et très respecté par ces gens charmants habitant la commune.
Espéront que cette noble tradition ne soit pas oubliée !
Autrefois, quand l'Enfer était réalité pour les esprits, le Démon, Roi des Enfers, avait cour et palais, ducs, marquis, autres comtes et armées organisées à sa disposition. Tous ces personnages avaient nom et apparence, description et habillement.
Voici Abigor, un de ces démons du Royaume des Enfers.
Comme les démons sont partout et se déplacent librement, ils peuvent être à Ortillon ou ailleurs.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Arbigny ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Arbigny, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Il capote au décollage
Arbigny, 9 août - M. Marcel Rauch, âgé de 30 ans, de Menton, qui pilotant un avion de tourisme, se rendait au camp d'Avord pour subir les épreuves du brevet militaire, dut atterrir dans une prairie, près d'Arbigny. Il se disposait à reprendre l'air, lorsque son appareil piqua du nez et s'écrasa.
Le pilote a été dégagé et transporté sans connaissance à l'hôpital de Mâcon.
LA CROIX - 10 août 1933
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Les facteurs des Postes
Le service postal est bien décrié et l'entreprise a bien changé.
Si les facteurs font maintenant leurs tournées rurales en automobile, il fut un temps où ils la réalisaient à la force du jarret et par tous les temps: il fallait que le courrier passe.
À Villar d'Arène, village des Hautes-Alpes, le facteur risqua sa vie pour transmettre la lettre d'un fils au Tonkin à des parents isolés en montagne. Sauvé de justesse, à demi-mort de froid, il était enseveli dans les neiges ; nous étions en 1895...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Arbigny ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Arbigny ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Évêque - VII° siècle
Mort en l'an 600, Honoré, fut évêque d'Amiens. Il devint Saint Patron des boulangers et patissiers à la naissance de la première des confréries des boulangers de Paris, au XV° siècle ; cette confrérie étant sanctifiée en l'Église Saint Honoré, les boulangers, puis les patissiers se placèrent donc naturellement sous sa sainte protection et lui dédièrent un gâteau bien célèbre. Les hauts faits d'Honoré nous sont inconnus mais il semblerait être né à Port-le-Grand. La légende raconte que sa nourrice, cuisant du pain, répondit à Honoré, petit polisson souhaitant devenir prêtre, qu'il deviendrait évêque quand la pelle à four aurait des feuilles ; la pelle se mit à verdoyer immédiatement...
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ Les ouvreuses - Année 1896
Deux ouvreuses travaillent à placer les spectateurs bien que la chaleur soit suffocante. L'une dit à l'autre:
- Quelle chaleur dans ce théâtre ! J’en suis phoque.
- Vous voulez dire : j’en suffoque ?
- Pardon, pardon, Madame Camus, je connais ma langue ! C’est-y-vrai qu’on dit: Souffler comme un phoque ? Ben, alors, puisque la chaleur me fait souffler, c'est donc approprié !
Nous remercions les différents contributeurs de Arbigny.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !