Un douanier de service à Cran, a retrouvé hier le corps de M. Chénard, percepteur de Saint-Nicolas-de-Redon qui se noya dans les premiers jours de décembre dernier, et dont je vous ai annoncé la disparition. L'identité du cadavre a été parfaitement constatée par les vêtements qui le couvraient, et par la montre dont il était encore nanti.
Il y a deux jours, le canal de Saint-Nicolas-de-Redon fut le témoin d'un accident semblable. S'est encore un ivrogne qui n'ayant pu se maintenir sur le milieu de la chaussée, tomba dans le canal. Quelques instants suffirent pour l'asphyxier complètement.
L'UNION BRETONNE - 15 février 1850À l'ordre du corps d'armée
Sergent Le Tohic, du 81° territorial, nommé sur sa demandé dans l'armée active, sous-lieutenant d’infanterie. Chef de patrouille, a été reconnaitre avec sang-froid et intelligence un poste d'écoute allemand en franchissant les fils de fer qui le couvraient. Menacé d'encerclement par des forces supérieures, a bien manoeuvré pour se dégager, faisant exécuter des feux efficaces qui ont tué deux hommes à l'ennemi, dont un de leurs chefs et a rapporté d'utiles renseignements.
OUEST ÉCLAIR - 02 octobre 1915
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Ne piquez pas leur vin !
1793, La Terreur, de nombreux nobles émigrent. Leurs terres et propriétés furent vendues comme biens nationaux et, lésant le Peuple, ils seront achetés à vil prix par les bourgeois et financiers ; ces injustices de la République nourrissant la fondée contre-révolution.
À Sigoyer, village français des Hautes-Alpes, Baudin, financier avide, achetant les biens nationalisés de la famille Gruel, spécula sur les vignes et vit révolte des habitantS. Le curé de Sigoyer, ayant tenté d'apaiser les tensions, ne dut sa survie qu'à sa fuite nocturne dans le plus simple appareil !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Nicolas-de-Redon ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Nicolas-de-Redon ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Saint - XVI° siècle
Secrétaire au Vatican sous Jules II et Léon X, Gaétan, contemporain de Luther, travailla à lutter contre l'expansion du protestantisme en Italie. La mort de sa mère le voit renoncer à sa charge et se consacrer aux pauvres de sa région. Avec un ami, Jean-Pierre Carafa, futur pape Paul IV, il fonde l'Ordre des Théatins qui se consacraient aux pauvres en menant vie pauvre et austère.
Il meurt à Naples en 1547.
Adieu Noël, il est passé...
⤇ Le perruquier - Année 1904
Un journaliste rentre chez un perruquier pour se faire tailler les cheveux et s’endort pendant cette opération. Le figaro le réveille tout doucement et lui dit:
- Vous êtes fatigué et je comprends ça ! Ainsi, tenez, moi, le soir je suis comme vous, je n’en puis plus !
Puis en matière de réflexion :
-Ah! Monsieur, le travail de tête !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Nicolas-de-Redon.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !