Saint-Gildas-de-Rhuys porte:
d'azur à une bande d'argent chargée de trois mouchetures d'hermine de sable posées à plomb, accompagnée en chef d'une fleur de lys de mer aussi d'argent et en pointe d'une tête de crosse abbatiale d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-Gildas-de-Rhuys
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. Saint-Gildas-de-Rhuys, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !
Chez les Bouriates, comme chez les Mongols, le feu est sacré et doit être respecté et, vu les froids hivernaux, on comprend pourquoi.
Sahyaadaï Noyon, Seigneur du Feu, est frère de Tengeri, suprême divinité.
Par respect pour le Feu, vous ne le toucherez pas avec des objets pointus, n'y jetez pas de déchets, et ne placez vos pieds vers la flamme.
Ces règles évitent simplement de fragiliser le feu et peut vous éviter brûlures malheureuses...
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-Gildas-de-Rhuys ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-Gildas-de-Rhuys, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Surprenant nouveau-né...
Le 1° novembre 1803, la femme d'un cultivateur de Sigale, commune française des Alpes-Maritimes, accouchait d'un enfant ;il ne vécut qu'une demi-heure.
De sexe féminin, le nouveau-né était doté d'une conformation si surprenante qu'une mission de santé vint de Nice et dressa procès-verbal.
L'enfant fut décrit comme n'ayant pas de cou, pas de nez mais un œil quadrangulaire de la taille d'un œil adulte .Au-dessus de l'œil unique se trouvait un corps charnu, élevé et parfaitement droit, large comme deux doigts. Le front du nouveau-né était inexistant ; il avait deux petites oreilles minuscules.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Gildas-de-Rhuys ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Gildas-de-Rhuys ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Béatrix d'Ornacieux, Bienheureuse - XIV° siècle
Native de l'Isère, au village d'Ornacieux, Béatrix fit choix de la religion et entra à la Chartreuse de Parménie, au village de Beaucroissant. Elle participe à la création du monastère des chartreuses d'Eymeux, dans l'actuel département de la Drôme. Elle y décède le 25 novembre 1303 et est béatifiée en 1869.
Gwell eo gwelet ki an kounnard
Evit heol tomm a miz Genver.
Mieux vaut voir chien enragé
Que chaud soleil en janvier.
⤇ Réponse imparable - Année 1883
On conduit Mlle Lili chez le bijoutier pour lui percer les oreilles ; la fillette ne se rend pas aux beaux arguments de sa mère et pleure toutes ses larmes. À bout d'arguments, la mère dit alors à sa fille:
- C'est le Bon Dieu qui le veut ainsi.
- Non fait l'enfant, si le Bon Dieu avait voulu que je porte des boucles d'oreilles, il aurait fait le trou lui-même...
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Gildas-de-Rhuys.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !