Une brave femme des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs: ils ne chantaient plus au lever du soleil. Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueilli au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour !
Autrefois, les femmes des marins étant longtemps sans nouvelle de leurs maris ou d'un proche parti en mer, venaient en pèlerinage à la chapelle de Sant-Loup-ar-bihan - Saint-Loup-le-Petit et allumaient un cierge au pied du saint. Si la flamme était brillante, ferme et joyeuse: le mari ou proche se portait bien ; si la flamme était terne, fragile ou s'éteignait: le mari ou proche était mort.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-aubin-de-Scellon ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-aubin-de-Scellon, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Meuniers fripons
Les meuniers ont toujours trainé une réputation de fripons. Au Moyen-Âge, formant le peloton de tête blasonné des professions malhonnêtes avec les boulangers, les tailleurs d'habits et les juges, ils voyaient moult mauvaises histoires et dictons à leur sujet, dont celles de fraudes aux farines.
Il est rapporté qu'en Massif Central mais aussi ailleurs, certains meuniers faisaient des ais de diamètres bien supérieurs à celui de la meule de la meule ; cela leur permettant de grapiller les farines accumulée sur cet espace. La farine s'y accumulant, larron la récupérait aux dépends de son client...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-aubin-de-Scellon ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-aubin-de-Scellon ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Jacques Thompson, Bienheureux - XVI° siècle
Les guerres de religion ravagent l'Europe et l'Angleterre n'est pas épargnée. Élisabeth I° d'Angleterre, rétablissant la primauté du protestantisme sur le catholicisme favorisé par Marie I°. Natif de York, Jacques Thompson, fait choix de prêtrise catholique et fit ses études à Remis, ville où existait un collège pour anglais. Rentré en Angleterre, il est pendu à York car il refuse de trahir l'Église de Rome.
⤇ Au théâtre - Année 1900
Dans les couloirs d’un théâtre, le soir d’une première, deux critiques discutent de la pièce.
- La pièce est un vrai four, dit l'un, fortement déçu.
- C’est donc cela, répond l'autre, que les acteurs semblent être sur des charbons ardents !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-aubin-de-Scellon.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !