Pouydesseaux est une commune de 900 habitants en département de Landes qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Pouydesseaux porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pouydesseaux
La route allant de Ioujno-Sakhalinsk au village d'Okhotskoye recèle un endroit extraordinaire voyant les lois de la physique s'inverser.
25 km après Ioujno, il faut accélérer en descente, freiner en montée et remarquer que l'eau coule vers le côté de la chaussée.
Le plus impressionnant est que les GPS s'expriment soudain avec une voix masculine et vous disent de faire attention aux ours traversant hors clous !
L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Pouydesseaux ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Pouydesseaux, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Salade niçoise à la tortue !
À Nice, célèbre ville française en département des Alpes-Maritimes, la population marquait le Carême en cette bonne année 1764. Les viandes interdites, le poisson était autorisé et, les oiseaux de mer alors considérés comme une sorte de poisson, leur consommation était autorisée ; c'était aussi le cas des autres animaux venant de la mer.
En ce beau mois d'octobre 1764, en plein Carème, des pêcheurs ramenèrent une tortue de 200 livres - 90 kg. Franciscains et autres congrégations revendiquant la prise, émeute, bosses et horions s'ensuivant entre partisans des uns ou des autres, la maréchaussée trancha: l'animal fut relâché et les franciscains, marris, durent renvoyer l'animal à la mer !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Pouydesseaux ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Pouydesseaux ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Saturnin de Rome, Martyr - IV° siècle
Saint des premiers temps de l'Église, Saturnin, né vers la fin du III° siècle, meurt en l'an 305 sur la Via Scapia, horriblement torturé, brûlé avec des torches puis décapité. Il subit notamment le supplice du chevalet, instrument de torture étirant les membres du supplicié jusqu'à leur rupture.
Quant lou moulier ba hè mole
Trico, traco dab la molo
Dou ben blat, dou fin blat
Quaque coupat de coustat
Quand le meunier va faiec sa meule
DU beau blé, du blé finre moudre
Tric, trac av
Il met quelques mesures de côté !
⤇ Et toc - Année 1895
Le retour du printemps a amené à Paris pas mal de bonnes gens de la campagne. Chez un commerçant du Marais, on donne l’hospitalité à un cousin qui visite pour la première fois la capitale. Au dessert, on l’invite à chanter avec sourire narquois.
- Je ne chante jamais ! s’excuse-t-il.
- Alors sifflez ! s’écrie un loustic.
- J’avoue que je sais siffler, dit le paysan ; ça m’arrive souvent à la campagne, mais c’est quand les bêtes sont loin...
Nous remercions les différents contributeurs de Pouydesseaux.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !