Meuse

Étymologies et toponymes

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 Douaumont: Eugène Le Pogam, mort le 6 septembre 1917, près de Douaumont, ravin de

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■ Meuse: Étymologies et toponymes

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes.

Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naître nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons ces néo-toponymes passe-partout, tristes, effrayants et déprimants appliqués sans réflexion à des lieux chargés de belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé

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Rue Bric et Brac

⌘ Meuse: Étymologies et toponymes

⟾ Le département

Le département de la Meuse a été crée le 4 mars 1790 comme bon nombre de départements français. La Meuse fut formée le 4 mars 1790 d'une partie occidentale de la Lorraine. Le département doit son nom à la rivière éponyme qui prend source dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, dans le département de la Haute-Marne.

Les langues locales: le Francique et le Lorrain

Les langues locales usitées dans le département de la Meuse étaient le Francique et le Lorrain qui sont langues d'oïl. Comme toutes les autres régions de France, ces langues ont perdu de leurs locuteurs et sont largement supplantées par le Français. Il existe néanmoins des courants tentant de faire découvrir et apprendre ces langues aux jeunes générations de la région et du département. La prise de conscience de cette richesse par certains hommes politiques locaux, ainsi que l'aide de la Région et du Département sont des soutiens indispensables à cette reconquête linguistique. Pour vos correspondances, n'hésitez pas à libeller vos adresses dans ces langues ; vous aiderez à les faire revivre.

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◎ Toponymes communaux

⌘ Nos toponymes

Datant souvent des temps les plus anciens, images de l'Histoire, de ses hommes, de leurs langues, nos toponymes sont reflets de l'occupation des territoires par les civilisations qui se succèdent.

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes. Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naitre nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons les néo-toponymes passe-partout, tristesse effrayante, déprimante et appliqués sans réflexion à des lieux chargés de si belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé ; combien de nouvelles communes aux noms à faire pleurer pierres et monuments ; simple plaidoyer pour nos toponymes, si riches, si beaux, si maltraités par facilité intellectuelle.

Il n'y a pas si longtemps, champs, prés et lieux, si petits soient-ils, avaient un nom: un microtoponyme définissant ce lieu avec précision et fort riche d'information. Ces noms, avec une modernité toponymique, se perdent dans l'oubli. Nous tentons de les inscrire quand découverts et localisés fiablement.