La Chapelle-Caro est une commune de 1.344 habitants en département de Morbihan qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Ce toponyme composé provient de la famille de La Chapelle pour sa première partie. Quant à Caro, en breton Karozh, il est donné pour avoir le sens de Karv, ar c'harv - substantif masculin prononcé Karo - et signifiant le cerf. Ce sens se retrouve signifié dans les armoiries de la commune.
La Chapelle permettait de différencier les terres de cette seigneurie de celles de Karozh - Caro.
La Chapelle-Caro porte:
écartelé au 1° et 4° d'hermine; au 2° et 3°, d'argent à deux fasces de gueules
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Chapelle-Caro
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.
Autrefois, il n'y a donc pas si longtemps, il existait un moyen imparable de débusquer les sorcières d'Ardennes, région de France, et de s'en protéger. Si dans les forêts ardennaises, vous soupçonnez une personne d'être une sorcière, placez deux brindilles de bois en forme de croix sur le chemin qu'elle doit emprunter.
Si la personne est une sorcière, elle ne pourra jamais franchir cet obstacle.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par La Chapelle-Caro ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de La Chapelle-Caro, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Au jour le jour
- La délimitation des frontières de la baie de Kouang-Tchéou-Wan qui avait nécéssité, on s'en souvient, de laborieux pourparlers, était enfin signée le 14 novembre après la mort des enseignes Koun et Gourlaouen.
Pour venir à bout de la résistance des rebelles, une colonne d'infanterie de marine partit le 15 novembre pour la ville chinoise de Yong-Liok, centre de l'agitation et résidence de l'un des principaux instigateurs de l'assassinat des 2 officiers. La colonne rencontra le 16 novembre un corps de 1500 miliciens chinois qui voulait lui barrer la route et avait élevé à cet effet des tranchées crénelées importantes. Comme il était impossible d'attaquer de front ces tranchées sans s'exposer à des pertes considérables, le commandant de la colonne fit exécuter un mouvement tournant. Les chinois pris à revers laissèrent sur le terrain plus de 200 morts. La colonne française eu de son côté 15 tués ou blessés dont un officier blessé légèrement.
LE NOUVELLISTE DU MORBIHAN - 7 janvier 1900
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ L'Évêque et le Seigneur
Nos aïeux se disputaient aussi comme des chiffonniers pour quelques arpents, quelques chiffons ou quelques revenus.
Jacques Gelu, doux Évêque de Gap, et Isnard de Beaufort, bon seigneur de Bréziers, communes des Hautes-Alpes, se disputaient dîmes et bénéfices de la paroisse. Leurs gens en venaient aux mains et partageaient plaies, horions et bosses. Le tribunal de Dignes trancha, l'Évêque gagna et Isnard créa san doute une nouvelle taxe !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de La Chapelle-Caro ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À La Chapelle-Caro ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Notre Dame de Lourdes, Lieu saint
Aujourd'hui, vous aurez pensée pour Notre Dame de Lourdes. En ce lieu, la Vierge Marie apparut 18 fois à Bernadette Soubirousentre le 11 février et le 16 juillet 1858, dans une grotte lourdaise, la grotte Massabielle. La Vierge lui demanda de travailler à la conversion des pêcheurs et créer un lieu de pèlerinage à Lourdes. Plusieurs millions de pèlerins, malades, visiteurs du monde viennent prier et se recueillir à Lourdes tous les ans.
N'eus ket hardizoc'h eget roched un miliner
Rag bep mintin e pak ul laer !
Rien n'est plus infatigable qu'une cravate de meunier
car elle tient tous les matins un voleur à la gorge !
⤇ Sans famille - Année 1900
Un mendiant à la fleur de l’âge implore la charité.
- Ayez pitié, dit-il, d’un orphelin qui est seul au monde, qui n’a pas de parents...
- Mon ami, lui répond un passant, ne vous en plaignez pas cette année : cela vous évite le désagrément de les recevoir !
Nous remercions les différents contributeurs de La Chapelle-Caro.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !