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L'Argentière-la-Béssée porte:
d'azur à une truite contournée d'argent, lorée d'or et miraillée de gueules, posée en barre, au chef bastillé d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de L'Argentière-la-Béssée
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. L'Argentière-la-Béssée, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Vous roulez bien tranquille en famille sur la route des vacances ou pour aller ffaire une balade des plus plaisantes...
Soudain, un tourbillon de poussière se dresse et virevolte devant vous pour vous aveugler, vous faire tousser et vous envoyer dans le fossé !
Ne sous-estimez pas la puissance des esprits de la terre...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par L'Argentière-la-Béssée ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de L'Argentière-la-Béssée, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant L'Argentière-la-Béssée.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Des nouvelles
L'Argentière-la-Bessée, 20 septembre - Mademoiselle Emma Blein, demeurant chez ses parents à L'Argentière-la-Bessée, Hautes-Alpes, serait reconnaissante à qui lui donnerait ds nouvelles de son frère, abbé Blein, curé de Clavy-Warby.
LA CROIX - 23 septembre 1914
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Où donc est le cimetière ?
Très rares sont les communes à ne pas avoir de cimetière sur leur territoire communal.
La Haute-Beaume, petite commune française des Hautes-Alpes, est de celles-là et, si vous y allez, vous pourrez remarquez qu'aucun cimetière n'est présent sur le territoire communal.
Ne passez donc pas des heures à vous interroger: de mémoire d'homme, nous a confié Monsieur le Maire, il n'y a jamais eu de cimetière dans la commune !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de L'Argentière-la-Béssée ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À L'Argentière-la-Béssée ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Reine de Germanie - X° siècle
Sainte patronne des familles nombreuses, Mathilde, Duchesse de Saxe, Reine de Germanie, est l'épouse d'Henri 1°, dit l'Oiseleur, roi de Germanie, Empereur d'Allemagne. Si son mari défend le Royaume, Mathilde, elle, défend les pauvres et les malades. Après la mort d'Henri, elle devient moniale bénédictine au Monastère de Quedlinbourg, Saxe. Morte le 14 mars 968, enterrée près de son mari, elle eut 5 enfants.
⤇ La pianiste - Année 1895
Une boutade du pianophobe Ernest Reyer, grand spécialiste de cet exercice. Il se trouvait dans un salon où la maîtresse de la maison exécutait une demie-brillante fantaisie sur Salamambô.
- Quel talent, cette comtesse, dit quelqu’un, et quel jeu généreux !
- En effet, riposta le Maître, sa main droite ignore ce que fait sa main gauche.
Nous remercions les différents contributeurs de L'Argentière-la-Béssée.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !