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Saint-Hippolyte-du-Fort
Chanson locale

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Saint-Hippolyte-du-Fort


■ Chanson locale

Avant l'apparition de la télévision et volontaire uniformisation de nos goûts, il existait foule de chansons, comptines, et autres mélodies agrémentant les veillées au coin du feu.

Chantée entre autre à Saint-Hippolyte-du-Fort, cette chanson mérite de ne pas disparaître.

De travail, de veillées, berceuses ou à danser, elles accompagnaient nos aïeux et leurs veillées. Ces pages de vies sont nées d'anecdotes, de constats, de moqueries. Elles parlent de femmes ou d'hommes, de séductions et d'amours, de luttes et rancœurs, de l'Amour du pays qui nous vit naître et ne demandent qu'à vivre à travers vous et vos amis: Elles sont la Vie !


Saint-Hippolyte-du-Fort

Saint-Hippolyte-du-Fort
  • Français: Saint-Hippolyte-du-Fort
  • Occitan: Sant Ipolit del Fòrt
    ( Occitan )
  • Population: 3 800
    Gentilé:
  • Superficie: 29,38 km²
    Densité: 129.34 /km²
  • Latitude: 43°58'0" N
    Longitude: 3°51'0" E
  • Latitude: 43.966702" N
    Longitude: 3.850000
  • pages: 17

⌘ Quand j'étais jeune et draguait les filles

Voici une comptine collectée à l'Île de Sein par Sauvé - Revue Celtique 1882. Il rapporte aussi que les mères et pères, psalmodiant cette comptine, balançaient doucement l'enfant comme s'il était en bateau et lui bougeaient les bras comme s'il manœuvrait l'aviron.

Ses paroles étant en langue bretonne ; vous trouvez la traduction française en regard du texte original.

◎ A pa oen-me yaouank o lesat ar merc'hed

A pa oen-me yaouank o lesat ar merc'hed, o lesat ar merc'hed,
A pa oen-me yaouank o lesat ar merc'hed, o lesat ar merc'hed,
Ne vanke ket james arc'hant e seier ma jilet,
Ne vanke ket james arc'hant e seier ma jilet (bis)

Setu me dimezet, kavet eo din ma far
Ret a vo din lâret adieu da blijadurioù an douar

Un deiz oen é vale a-barzh e ma jardrin
Me rankontras un evnig roz àr ur barr é kaniñ

Hag eñ a gan hag a ziskan, hag e lâr dre e boz
Daou zen yaouank oc'h ober al lez ne gousk na deiz na noz

An evnig-se en deus lâret ur gaou kar em eus eñ aprouvet
Me zo bet yaouank evel ar re-all ha me gouske bepred

A-barzh e ma jardrin eh eus tri boked plantet
Daou anezhe ra fleurderoz, an arall ne ra ket

Daou anezhe ra fleurderoz, an arall ne ra ket
An dra-se ziskouez deomp-ni plac'hig penaos en em garomp ket

Me garhe bout plac'hig en ho kompagnunezh
Durant ma ve ur maen velin é teuziñ en ur wazh

Ur maen melin er wazh a vez pell é teuziñ
An amitie etre daou zen yaouank evez ket pell é pasiñ

◎ Rame, rame donc !

Rame, rame donc !

Conduis la barque à son ancrage.

Et puisqu'elle ne peut s'y rendre.

Passe la rivière et passe le Conq.

À Poul-David nous devons aller

Chercher de la farine d'avoine pour la dame

Qui a mal au cœur...

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