En jun, vent dòu sera
de gran, n'espéra
En juin, vent du soir
Pour le grain, bon espoir.
⤇ Et toc - Année 1895
Le retour du printemps a amené à Paris pas mal de bonnes gens de la campagne. Chez un commerçant du Marais, on donne l’hospitalité à un cousin qui visite pour la première fois la capitale. Au dessert, on l’invite à chanter avec sourire narquois.
- Je ne chante jamais ! s’excuse-t-il.
- Alors sifflez ! s’écrie un loustic.
- J’avoue que je sais siffler, dit le paysan ; ça m’arrive souvent à la campagne, mais c’est quand les bêtes sont loin...
Nous remercions les différents contributeurs de Prigorodny R. (OS).
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !