Orléans est une commune de 113.300 habitants en département de Loiret qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Orléans est capitale de L'Orléanais, né d'un démembrement de la Civitas Carnutum antique. Orléans était une place forte de la tribu des Carnutes et connue sous le nom de Cénabum, ou Genabum. César en parle dans le livre VII du Bellum Gallicum du conquérant romain. Cenabum était capitale de la Civitas Aurelianorum, ainsi nommée en l'honneur d'Aurélien, empereur romain. C'est la civitas qui donnera son nom à la ville actuelle et nous verrons ce mot évoluer vers ce toponyme Orléans que nous connaissons actuellement.
Orléans porte:
de gueules à trois tiercefeuilles d'argent ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurdelys d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Orléans
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Les vendanges terminées, il était us chez les habitants d'Aluze, département français de Saône-et-Loire, d'offrir une grappe de raisin à tout pauvre le demandant.
Cet usage était naturel et très respecté par ces gens charmants habitant la commune.
Espéront que cette noble tradition ne soit pas oubliée !
Autrefois, quand l'enfer était réalité pour les esprits, le Démon, Roi des Enfers, avait cour et palais, ducs, marquis, autres comtes et armées organisées à sa disposition. Tous ces démons avaient nom, description et habillement. Abalam est l'un d'eux et, comme les démons se déplacent librement, il peut aussi se balader à Orléans.
Nous préferons vous prévenir et vous savoir sur vos gardes !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Orléans ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Orléans, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Visite de l’Empereur du Brésil
Orléans, 8 mai - L'empereur du Brésil est parti de Paris pour assister aux fêtes d'Orléans, en l'honneur de Jeanne d'Arc.
Magnifiques à l'ordinaire ces fêtes mais pourquoi le panégyrique de l'héroïque fille est-il toujours prononcé par un évêque ?
Des évêques jadis la vouèrent aux flammes ; c'était assez !
L'eau bénite ne guérit pas les brûlures comme la pelure de pommes de terre et la toile d'araignée. Bien au contraire !
LA LANTERNE - 10 mai 1877
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Musique ou châtiment ?
En 1431, visitant Sisteron, superbe ville des Alpes-de-Haute-Provence, le Nonce apostolique du pape Eugène IV°, célébrant la messe en la Cathédrale Notre-Dame des Pommiers, horrifié par l'horrible prestation musicale des chantres et salariés de l'Église, se mit en colère et imposa à tous, ecclésiastiques et laïcs préposés à la cathédrale, d'apprendre à chanter et à jouer de la musique:; il revint un an plus tard vérifier le travail et les progrès...
C'est en 1983 que Sisteron ouvrira une école de musique qui rayonne maintenant sur toutes les communes environnantes...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Orléans ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Orléans ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Évêque - XVI° siècle
Nommé en 1507 par Anne de Bretagne, Yves dénote: les évêques étant notables, ce Dominicain, frère mendiant, étonne. Né en Léon- 1462, il intègre le couvent dominicain de Morlaix, étudie à Nantes et s'installe à Rennes. Confesseur d'Anne, elle le nomme Évêque en 1507. Continuant à vivre au couvent des jacobins, il lance la construction de la Cathédrale, y couronne François III°, Duc de Bretagne, indépendante, et meurt en 1541 à Bruz. Il fut réformateur de l'Église Bretonne.
Avril et Mai, de l'année
Font tous seuls la destinée.
⤇ Demande en mariage - Année 1896
Un jeune homme bien sous tous rapports demande la fille de Monsieur Germock, célèbre personnage.
- Eh bien, mon jeune ami, soit, c’est convenu vous serez mon gendre. Je vous accorde la main de ma fille sans hésiter.
- Oh ! monsieur, mille fois merci.
- J'y met seulement une condition: ma femme ira habiter avec vous.
- Certainement, répond le futur gendre... Et vous aussi ?
- Moi ? Ah ! non, ça par exemple, quelle idée !
Nous remercions les différents contributeurs de Orléans.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !