

Maisons-Alfort est une commune de 52.900 habitants en département de Val-de-Marne qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Maisons-Alfort porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Maisons-Alfort

Sur les côtes bretonnes, à mi-marée et lorsque la mer est calme, si vous savez regarder en oubliant votre modernité vous pourrez parfois remarquer des ganses et des rubans sinueux un peu plus clairs que les eaux environnantes, rappelant une voie lactée marine.
C'est une route sacrée tracée par des hommes et femmes de grandes saintetés, ou par des divinités ayant eu le priviliège de marcher sur les eaux.
Regardez-les et vous les verrez...

L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...

Ar sinadoù - les intersignes annoncent la mort. Ils sont une ombre du futur qui est projetée devant vous.
Rassurez-vous, les sinadoù que vous voyez n'annoncent pas votre mort mais celle d'un proche ou connaissance.
Si vous entendez le coq chanter pendant l'après-midi, c'est pour vous annoncer un terrible deuil ou une grande joie.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Maisons-Alfort ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Maisons-Alfort, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Crime épouvantable
Maisons-Alfort, 18 mai - Un crime épouvantable vient d'être commis à Maisons-Alfort.
Le sieur A., employé dans une fonderie de fer, demeurait rue de Lechat, dans cette commune, avec sa femme, née Claire M. âgée de quarante-cinq ans, son fils Charles, âgé de seize ans et deux mois, et leur dernier enfant, âgé de neuf mois seulement. La dame A. qui était chargée des soins du ménage, s'était depuis longtemps, à ce qu'il paraît, adonnée à l'ivrognerie, et on la voyait fréquemment en état d'ivresse.
Son intempérance était sujette à de nombreuses discussions entre les deux époux, qui, après plus de vingt ans de mariage, ne vivaient plus que rarement en bonne intelligence.
Hier, dans la journée, le sieur A. après avoir engagé sa femme à observer la sobriété pendant son absence, l'avait laissée au domicile commun avec leur dernier enfant, et était venu avec son fils, Charles, à Paris.
Le soir, vers six heures, en rentrant seul chez lui, il la trouva étendue dans un état complet d'ivresse sur le lit et remarqua que l'enfant était couché en travers, dans son berceau, au pied du lit. À la vue de ce tableau, sans proférer un seul mot, il s'empara d'une carabine de cavalerie qu'il gardait chez lui, la chargea à plomb et l'amorça.
En cet instant, son fils, Charles, demanda pourquoi il chargeait cette arme. Le père répondit froidement: " Depuis vingt et un ans que je suis marié, ta mère m'a rendu le plus malheureux des hommes. Si elle avait voulu me seconder, nous pourrions être dans l'aisance aujourd'hui. Mais pour satisfaire sa passion pour la boisson, elle a dissipé toutes mes économies et je me vois exposé à la misère, car elle ne se corrigera jamais ; ça ne peut plus durer comme cela. Je veux on finir aujourd'hui et il faut que je me tue ou que je la tue !"
Il n'eut pas plutôt achevé, que son fils Charles, lui saisissant la carabine dans les mains, s'écria: " Non ! ce ne sera pas toi, mais c'est moi qui la tuerai ! ". Puis se plaçant aussitôt devant le lit et ajustant sa mère, il lui déchargea l'arme a bout portant au côté droit de la poitrine. La charge, ayant formé balle pénétra profondément dans les organes, et la victime resta comme foudroyée. Le jeune meurtrier jeta ensuite la carabine dans un coin, quitta la pièce, et chercha à s'éloigner, en laissant son père debout et immobile devant le cadavre.
Au bruit de la détonation, les voisins accoururent pour en connaître la cause et barrèrent le passage à Charles, qui leur déclara qu'il venait de tuer sa mère. En entrant dans le logement, ils y trouvèrent, toujours debout et immobile, le sieur A. qui confirma le fait, et ils purent s'assurer par eux-mêmes que la dame A. restée étendue sur le lit, portait à la poitrine une plaie profonde d'ou le sang s'était échappé en abondance, et qu'elle avait cessé de vivre.
Le père et le fils furent gardés à vue, et l'on prévint le commissaire do police de Charenton, M. Lebrun, qui se rendit immédiatement sur les lieux avec un inspecteur principal du service de sûreté, et ouvrit une enquête à ce sujet. Après avoir procédé aux constatations légales, le commissaire de police interrogea le sieur A. et son fils Charles. Ce dernier renouvela ses aveux, et fit connaître la scène qui avait précédé le meurtre son père confirma sa déclaration. Ils ont été mis tous les deux en état d'arrestation, et ils viennent d'être envoyés au dépôt de la préfecture de police pour être mis a la disposition de la justice.
Aujourd'hui, l'un de MM. les juges d'instruction et un substitut du parquet se sont également rendus sur les lieux et ont commencé sur-le-champ l'information judiciaire de ce crime, qui a causé une profonde impression à Maisons-Alfort et dans les communes environnantes.
LE PETIT JOURNAL - 20 mai 1863
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Enivrante découverte
À Trescléoux, commune française ds Hautes-Alpes, un peu avant 1700, une barrique de vin fut découverte dans la cave du château de Trescléoux. Ce vin était décoloré, avait allure huileuse, ou plutôt allure de forte liqueur sirupeuse.
Il n'est par contre pas dit ce qu'il advint des inventeurs de ce trésor, ni s'il prirent une mémorable cuite en testant les propriétés médicinales de la barrique, ni s'ils finirent avec quelques problèmes intestinaux mémorables, ou pire...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Maisons-Alfort ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Maisons-Alfort ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Saint - VI° siècle
Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.

Avril et Mai, de l'année
Font tous seuls la destinée.

⤇ Géométrie nasale - Année 1889
Un professeur de géométrie trace une figure au tableau et les élèves en profitent pour s’amuser d’une façon bruyante. Le professeur se retourne soudain, excédé:
- Est-ce que cela va bientôt finir ? Quand j’ai le dos tourné, je n’aime pas que l’on me rit au nez !
Et gravement, il continue à expliquer sa théorie.
Nous remercions les différents contributeurs de Maisons-Alfort.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !