Maisons-Alfort

Commune de France

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Maisons-Alfort

Maisons-Alfort est une commune de 52.900 habitants en département de Val-de-Marne qui vous sera d'agréable visite.

Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...

N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.

Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Merci à wikipédia et autres d'arrêter de plagier nos textes et travaux


Maisons-Alfort

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  • FrançaisMaisons-Alfort
  • Population52 900
    Gentilé
  • Superficie5,35 km²
  • Densité9887.85 /km²
  • Latitude48° 48 '60" N°
    Longitude2° 26 '60" E°
  • Latitude48.799999°
    Longitude2.433330°


Rue Bric et Brac

◎ Carte

Découvrez la carte de la commune.

La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.

Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

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◎ Héraldique

Maisons-Alfort porte:

n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain

◎ Patrimoine

Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.

Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Maisons-Alfort

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◎ Légende

Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.

Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:

Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.

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◎ Traditions

L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...

Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.

Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...

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◎ Croyances

◎ Poème et poésie

Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.

Inspiré par Maisons-Alfort ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.

Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...

◎ Libre plume

Habitants de Maisons-Alfort, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.

Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.

Nous les remercions pour leur participation et partage.

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◎ Presse passée

 ⤇ Crime épouvantable

Maisons-Alfort, 18 mai - Un crime épouvantable vient d'être commis à Maisons-Alfort.
Le sieur A., employé dans une fonderie de fer, demeurait rue de Lechat, dans cette commune, avec sa femme, née Claire M. âgée de quarante-cinq ans, son fils Charles, âgé de seize ans et deux mois, et leur dernier enfant, âgé de neuf mois seulement. La dame A. qui était chargée des soins du ménage, s'était depuis longtemps, à ce qu'il paraît, adonnée à l'ivrognerie, et on la voyait fréquemment en état d'ivresse.
Son intempérance était sujette à de nombreuses discussions entre les deux époux, qui, après plus de vingt ans de mariage, ne vivaient plus que rarement en bonne intelligence.
Hier, dans la journée, le sieur A. après avoir engagé sa femme à observer la sobriété pendant son absence, l'avait laissée au domicile commun avec leur dernier enfant, et était venu avec son fils, Charles, à Paris.
Le soir, vers six heures, en rentrant seul chez lui, il la trouva étendue dans un état complet d'ivresse sur le lit et remarqua que l'enfant était couché en travers, dans son berceau, au pied du lit. À la vue de ce tableau, sans proférer un seul mot, il s'empara d'une carabine de cavalerie qu'il gardait chez lui, la chargea à plomb et l'amorça.
En cet instant, son fils, Charles, demanda pourquoi il chargeait cette arme. Le père répondit froidement: " Depuis vingt et un ans que je suis marié, ta mère m'a rendu le plus malheureux des hommes. Si elle avait voulu me seconder, nous pourrions être dans l'aisance aujourd'hui. Mais pour satisfaire sa passion pour la boisson, elle a dissipé toutes mes économies et je me vois exposé à la misère, car elle ne se corrigera jamais ; ça ne peut plus durer comme cela. Je veux on finir aujourd'hui et il faut que je me tue ou que je la tue !"
Il n'eut pas plutôt achevé, que son fils Charles, lui saisissant la carabine dans les mains, s'écria: " Non ! ce ne sera pas toi, mais c'est moi qui la tuerai ! ". Puis se plaçant aussitôt devant le lit et ajustant sa mère, il lui déchargea l'arme a bout portant au côté droit de la poitrine. La charge, ayant formé balle pénétra profondément dans les organes, et la victime resta comme foudroyée. Le jeune meurtrier jeta ensuite la carabine dans un coin, quitta la pièce, et chercha à s'éloigner, en laissant son père debout et immobile devant le cadavre.
Au bruit de la détonation, les voisins accoururent pour en connaître la cause et barrèrent le passage à Charles, qui leur déclara qu'il venait de tuer sa mère. En entrant dans le logement, ils y trouvèrent, toujours debout et immobile, le sieur A. qui confirma le fait, et ils purent s'assurer par eux-mêmes que la dame A. restée étendue sur le lit, portait à la poitrine une plaie profonde d'ou le sang s'était échappé en abondance, et qu'elle avait cessé de vivre.
Le père et le fils furent gardés à vue, et l'on prévint le commissaire do police de Charenton, M. Lebrun, qui se rendit immédiatement sur les lieux avec un inspecteur principal du service de sûreté, et ouvrit une enquête à ce sujet. Après avoir procédé aux constatations légales, le commissaire de police interrogea le sieur A. et son fils Charles. Ce dernier renouvela ses aveux, et fit connaître la scène qui avait précédé le meurtre son père confirma sa déclaration. Ils ont été mis tous les deux en état d'arrestation, et ils viennent d'être envoyés au dépôt de la préfecture de police pour être mis a la disposition de la justice.
Aujourd'hui, l'un de MM. les juges d'instruction et un substitut du parquet se sont également rendus sur les lieux et ont commencé sur-le-champ l'information judiciaire de ce crime, qui a causé une profonde impression à Maisons-Alfort et dans les communes environnantes.

LE PETIT JOURNAL - 20 mai 1863

◎ Recette de cuisine

La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.

Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...

Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

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◎ Anecdote locale

⤇ Le cordonnier de Williers

Il s'appelait Médard Corvisier, cordonnier vivant en 1789 à Williers, petit village frontalier des Ardennes françaises.

Il fut arrêté le 25 brumaire An II - 15 Novembre 1793 pour avoir réclamé le retour de l'Ancien Régime. Le 6 thermidor An II - 24 Juillet 1794, il fut libéré sur demande de Vassant, maire de Sedan, mais, en contrepartie, fut condamné à fabriquer des chaussures aux patriotes. Il occupait la cellule N° 36 au Mont-Dieu, ancienne chârtreuse reconvertie en prison sous la Terreur et meurt à Laon le 28 juin 1799.

◎ Chantez !

Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.

Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Maisons-Alfort ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...

◎ Pomologie

Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !

Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.

Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.

 Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !

◎ Réclames

À Maisons-Alfort ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...

Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

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◎ Saint du jour

  Sidoine de Jumièges, Saint - VI° siècle

Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.

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◎ Dicton

Avril et Mai, de l'année
Font tous seuls la destinée.

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◎ Blagounette

⤇ Anatomie et évidence - Année 1937

L'instituteur à son élève, Raoul, qui apprend à compter:
- Raoul, combien as-tu de doigts dans la main ? lui demande son professeur.
- Autant que vous, Monsieur, lui répond le petit Raoul !

◎ Remerciements

Nous remercions les différents contributeurs de Maisons-Alfort.

Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.

Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.

Un grand merci à tous et toutes !