Leimbach est une commune de 800 habitants en département de Haut-Rhin qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Leimbach porte:
d'or à une crosse de gueules, au portail roman du même brochant sur la crosse, à un coucou au naturel posé en pointe sur la hampe de la crosse
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Leimbach
Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.