⤇ Les ouvreuses - Année 1896
Deux ouvreuses travaillent à placer les spectateurs bien que la chaleur soit suffocante. L'une dit à l'autre:
- Quelle chaleur dans ce théâtre ! J’en suis phoque.
- Vous voulez dire : j’en suffoque ?
- Pardon, pardon, Madame Camus, je connais ma langue ! C’est-y-vrai qu’on dit: Souffler comme un phoque ? Ben, alors, puisque la chaleur me fait souffler, c'est donc approprié !
Nous remercions les différents contributeurs de Juigne-sur-sarthe.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !