Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Furmeyer, en vivaro-alpin Furmeier, est cité dès 1239 sous le nom de Furmier et provient du latin Formica - la fourmi via l'occitan Furmigier signifiant Fourmilière.
N'y cherchez pas quelque monstrueuse fourmilière peuplée de milliards d'individus ; Furmeyer est construit sur une petite butte ou monticule, sans doute rappelant une fourmilière par sa petite taille...
Furmeyer porte:
d’azur au cyprès arraché d’or, sommé d’un pigeon d’argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Furmeyer
La route allant de Ioujno-Sakhalinsk au village d'Okhotskoye recèle un endroit extraordinaire voyant les lois de la physique s'inverser.
25 km après Ioujno, il faut accélérer en descente, freiner en montée et remarquer que l'eau coule vers le côté de la chaussée.
Le plus impressionnant est que les GPS s'expriment soudain avec une voix masculine et vous disent de faire attention aux ours traversant hors clous !
L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Furmeyer ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Nés dans la commune, ils connurent une certaine notoriété nationale ou internationale, régionale ou locale et méritent d'être mieux connus.
Ils étaient écrivains, militaires, religieux, peintres ou autres activités et brillèrent dans leur domaine ou marquèrent les esprits et l'Histoire locale comme, à titre d'exemple, de BONNE Gaspard
Ils sont célébrités de Furmeyer
Habitants de Furmeyer, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
⤇ On va fermer la chasse
- Écoutons un chasseur qui vient de faire campagne contre les lièvres et les perdrix. Il interroge un futur bachelier qui doit chasser l'an prochain.
- Je trouve une bande de perdrix ; je tire, j'en tue trois, combien en reste-t-il ?
- C'est facile à compter : trois de dix reste sept.
- Nigaud ! Je n'en tue que trois, donc il en reste trois ; les sept autres continuent à voler.
LA CROIX - 17 janvier 1884
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Furmeyer ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Furmeyer ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Brice de Tours, Évêque - V° siècle
Patron des Juges, Brice fut Évêque de Tours et décède vers l'an 444. Il est raconté que Brice, qui semble avoir revenus, est recueilli par Saint Martin. Il quitte le monastère pour vivre auprès de ses biens, écuries et charmantes esclaves. La mort de Martin va totalement bouleverser la vie de Brice qui retourne à sa vie religieuse et devient aussi Évêque de Tours. Accusé d'avoir engrossé une religieuse, il est convoqué devant le Pape pour jugement. Reconnu innocent par ses ouailles qui imposent son retour, il est canonisé dès son décès.
⤇ Précision importante - Année 1937
À l'école, le maître avait donné un sujet de composition française à ses élèves. Il leur demandait de décrire la chose la plus drôle qu'il aient jamais vue.
Pendant que les élèves s'appliquaient, Gaston, flemmard de service, restait les bras croisés au fond de la classe.
L'instituteur vint alors vérifier son travail et se penchant sur la copie, put y lire:
La chose la plus drôle que j'aie jamais vue est impossible à décrire.
Nous remercions les différents contributeurs de Furmeyer.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !