

Châteauneuf-Miravail est une commune de 69 habitants en département de Alpes-de-Haute-Provence qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.

Châteauneuf-Miravail porte:
parti d'or à un arbre de sinople arraché et fusté au naturel, soutenu d'un croissant d'azur ; et d'azur à un lion d'or, lampassé et armé de gueules
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Châteauneuf-Miravail
Châteauneuf-Miravail veut faire la foire
Le 28 juin 1884, la commune, via son conseil municipal, demandait à créer deux foires ; elles se dérouleraient sur la commune ; l'une au chef-lieu et l'autre dans le secteur de la Lauze.
Large consultation fut faite et les communes, parfois éloignées, furent consultés...

Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !

Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Alors petit port, Saint-Cast voyait belle population de pêcheurs. Comme dans l'immense majorité des populations maritimes, joindre les deux bouts - comme le dit l'expression populaire, était préoccupation récurrente ; ces sociétés étaient bien éloignées de notre monde occidental actuel gaspillant follement. Les vêtements étaient utilisés au maximum et, fort souvent, retrouvaient autres usages ; c'est le cas des vareuses de marins. Le prétexte permettant usage de vieilles vareuses permettait aussi de garder la tête haute et évitait d'afficher sa pauvreté.
Il est dit qu'autrefois, à Saint-Cast mais aussi ailleurs, les femmes couvraient leurs bébés d'une vareuse de marin car cela les protégeaient des rhumatismes et ds maladies infantiles.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Châteauneuf-Miravail ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Châteauneuf-Miravail, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Découverte à Tumiac
Le 21 juillet 1853, en Bretagne, une curieuse découverte fut réalisée à Arzon dans la presqu'île de Rhuys.
La tradition rapportait qu'un tunnel partait depuis le Tumulus de Tumiac, passait sous le chromlec'h d'Er Lannig et menait au Cairn de Gavrinis. Bien sûr, ce souterrain voyait somptueux trésors ajoutant diamants, émeraudes et autres pierres aux ors et argents encombrant le souterrain et ses multiples salles. Émoustillés par la promesses de ces trésors, un trou de 30 centimètres fut creusé entre deux dalles de la Butte de César, autre nom du tumulus. La découverte fut impressionnante, non pour les chercheurs de trésors mais pour les archéologues de l'époque et membres de la Société Polymatique du Morbihan qui y dépêcha plusieurs membres.
Les fouilles réalisées permirent de découvrir multiples artefacts de ce monde néolithique que l'on appelait encore période druidique.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Châteauneuf-Miravail ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Châteauneuf-Miravail ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Moine - XI° siècle
Moine dans un monastère qui périclitait, les six derniers moines le choisirent comme abbé de leur abbaye basée à Nogent-sur-Marne. Dynamique, Geoffroy relance ce monastère qui devient florissant. Devenu Évêque d'Amiens, écrasé de soucis liés aux seigneurs du coin qui menaient vie impossible aux habitants de la ville, il se retire en Grande Chartreuse. Calme de courte durée car il doit revenir à ses fonctions à Amiens. Il meurt à Soissons quelques mois après. Le rejetant, aucun membre du clergé d'Amiens ne réclamera son corps.

⤇ Précision importante - Année 1937
Un négociant qui venait de mourir subitement avait laissé une lettre sur son bureau ; elle était adressée à un de ses correspondants et il l'avait dictée à un de ses commis.
Celui-ci jugea à propos de faire partir la lettre mais y ajouta une sage information:
Depuis que ma lettre est écrite, je suis mort et je serai enterré quand vous la recevrez.
Nous remercions les différents contributeurs de Châteauneuf-Miravail.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !