Bormes-les-Mimosas porte:
d'azur au lion d'or couronné d'argent, lampassé, armé et vilené de gueules
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Bormes-les-Mimosas
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Les âmes en peine ont toujours erré près des vivants.
Si vivants et morts d'autrefois vivaient en bonne harmonie, les âmes errantes, en Corse, ne trouvaient pas le repos et étaient moins heureuses que les âmes errantes en Bretagne qui, grâce à l'aide charitable d'un vivant, se trouvaient délivrées de cette errance infinie.
Lors de votre séjour à Bormes-les-Mimosas ayez une pensée pour les âmes en peine...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Bormes-les-Mimosas ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Bormes-les-Mimosas, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Laugier, sacristain à Blégiers
À l'époque, être sacristain n'était pas bénévolat mais un métier à part entière et l'homme était salarié par la paroisse et paroissiens qu'il servait.
La rémunération du sacristain se négociait et contrat était signé ; parfois certains droits disparaissaient, d'autres apparaissaient mais, en moyenne, les rémunérations étaient stables.
Le sacristain de Blégiers, ancienne commune des Alpes-de-Haute-Provence, recut une compensation lui permettant de s'assurer des revenus suffisants. Peu avant l'année 1526, lui fut confirmé des droits décimaux sur la prébende de Blégiers. L'acte d'arrentement, facturé 35 écus, fixait la prébende du sieur sacristain, un certain Laugier, consistant en la moitié du dixième du blé du lieu de Blégiers, ainsi que l'usage d'un bâtiment et petit jardin joignant au quartier du Bourg. Le tout valant en tout 450 livres de rente annuelle.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Bormes-les-Mimosas ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Bormes-les-Mimosas ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Mystique - XIII° siècle
Jacques de Vitry commenta la vie de Christine de Saint-Trond, mystique du XII° siècle. Témoin oculaire et l'ayant fréquentée pendant 2 années, il est digne de Foi.
Christine avait extases profondes si proches de la mort qu'on le pensa. Au Requiem, elle quitta son cercueil, s'envola vers la voûte de l'Église et termina sa vie au Couvent de Saint Trond en y marquant les esprits par sa Grâce et son Humilité.
⤇ Le charcutier - Année 1930
La ménagère - Dites donc, Monsieur le charcutier, j'ai trouvé un morceau de caoutchouc dans une de vos saucisses de cheval.
Le charcutier - Peuh ! vous en trouverez bien d'autres quand l'automobile aura définitivement remplacé le cheval !
Nous remercions les différents contributeurs de Bormes-les-Mimosas.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !