Andon, avec un occitan Andon e Torenc rappelant ainsi l'habitat de Thorenc, est attesté en 1038 pour la première fois connue dans les écrits.
Le texte concerné citant la seigneurie d'Andon et le château concerné ; certainement une motte féodale maintenant disparue. En 1180, le sens proposé à ce toponyme est celui de source et l'auteur signale un Andaon. Peut-être pourrions-nous rapprocher ce toponyme du gaulois avec un Vieil Oppidium que l'on retrouverait en Breton sous la forme Hen Dun ; Hen étant un mot du vieux breton, toujours usité en breton vannetais et signifiant vieux, ancien. Vous pouvez retrouver cet usage dans le toponyme Hennebont, le vieux pont.
Donner ce sens au toponyme nous semble plus réaliste qu'une improbable source.